L’Agence Spatiale Européenne confie une mission cruciale à des chercheurs azuréens / Lagrange

Résultat scientifique Terre & Univers

Aujourd’hui, les réseaux de télécommunications classiques, fondés sur les ondes radioélectriques, sont au bord de la saturation. Une solution ? Les télécommunications optiques, fondées sur le transport de données par la lumière (laser), sont en mesure de multiplier par 10 le débit de ces échanges de données. Mais pour la mise en place de ces nouveaux réseaux à l’échelle de la planète, les chercheurs doivent considérer trois problèmes majeurs qui perturbent ces transmissions : les nuages, les aérosols et la turbulence atmosphérique.
Une équipe de scientifiques associant le CNRS, l’Observatoire de la Côte d’Azur et Université Côte d'Azur s’est vu confier par l’Agence Spatiale Européenne (ESA), l’évaluation des sites pressentis pour accueillir les stations de ce nouveau réseau. Les chercheurs devront étudier ces trois phénomènes sur chaque site afin de les qualifier et ainsi de permettre de choisir les meilleurs, c’est-à-dire les moins exposés à l’altération des transmissions optiques par le climat, les aérosols et la turbulence dans l’atmosphère.

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Ziad Aziz
Enseignant-chercheur à Lagrange