PearCode : stocker les données sur de l’ADN synthétique

Innovation Sciences informatiques

L’ADN est capable d’emmagasiner d’énormes quantités d’informations sur un temps long et un tout petit volume. La start-up PearCode, issue des travaux de thèse de Melpomeni Dimopoulou menés au Laboratoire d’Informatique, signaux et systèmes de Sophia Antipolis - I3S (CNRS/Université Côte d’Azur) sous la direction de Marc Antonini, chercheur à I3S, met en valeur des algorithmes de codage et décodage adaptés à l’ADN synthétique, capable d’encoder des données informatiques.

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Quelques centaines de grammes d’ADN suffiraient à stocker toutes les données de la planète.
Marc Antonini, Directeur de recherche CNRS au laboratoire d'Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S)

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Marc Antonini
Directeur de recherche CNRS au laboratoire d'Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S)