Félicitations aux 4 enseignants-chercheurs azuréens nouveaux membres de l’Institut Universitaire de France !
Le CNRS Côte d’Azur félicite les 4 enseignants-chercheurs issus de ses laboratoires azuréens pour leur nomination au sein de l’Institut Universitaire de France, une distinction nationale qui récompense la recherche de pointe menée par ses membres.
Le rôle de l’IUF est de favoriser le développement de la recherche de haut niveau dans les universités et de renforcer l’interdisciplinarité. Les lauréat(e)s se voient accorder des moyens supplémentaires afin de soutenir leurs projets de recherche.
Membres juniors :
- Elena Di Bernardino - Laboratoire Jean-Alexandre Dieudonné – LJAD (CNRS/UniCA)
Spécialiste de l'étude des phénomènes aléatoires complexes, elle étudie les propriétés géométriques des champs aléatoires et des processus spatio-temporels en relation avec la théorie statistique des valeurs extrêmes. Elle développe des applications en climatologie et dans la gestion des risques naturels extrêmes.
- Maxime Ingremeau - Laboratoire Jean-Alexandre Dieudonné – LJAD (CNRS/UniCA)
Spécialiste des équations aux dérivées partielles (EDP), il explore les questions fondamentales liées à l’équation des ondes et l’équation de Schrödinger, essentielles pour comprendre des phénomènes physiques.
Membres séniors :
- Frédéric Cappa – Géoazur (CNRS/IRD/OCA/UniCA)
Professeur en géophysique, il est reconnu pour ses travaux pionniers sur l’hydromécanique des failles géologiques et les séismes induits par les circulations de fluides. Il a notamment mis au point un nouveau modèle permettant de mieux comprendre les mécanismes sismiques associés aux projets de stockage souterrain d’énergie. Ses recherches apportent une contribution majeure à l’évaluation du risque sismique, en particulier dans le contexte de la transition énergétique vers des systèmes plus durables.
- Cédric Richard – Laboratoire Lagrange (CNRS/Observatoire Côte d'Azur/UniCA)
Ses recherches se situent à l’interface du traitement statistique du signal et de l’apprentissage automatique, et s’intéressent à leurs mises en œuvre conjointes pour la surveillance des systèmes tels que les flux urbains via les fibres optiques de télécommunications.